samedi 12 juillet 2014

Chronicle (Film)

Posted by CoupDeFeels on 06:11 with No comments


WARNING : Cet article n'est pas du tout spoiler free ! Vous voilà prévenus.


Avant toute chose, je vais commencer par un petit résumé pour vous rafraîchir la mémoire : 

Chronicle, sortit en 2012, est un faux documentaire filmé par Andrew Detmer, un lycéen timide que le monde ne cesse de maltraiter ; sa mère est malade, son père le bat, il n'a aucun amis à part son cousin (qui semble quand même ne pas trop vouloir de lui), et pour finir, au lycée chaque brute qui croise son chemin ne peut s'empêcher de le persécuter ou de l'humilier. Bref sa vie craint assez sévèrement jusqu'au jour où lui, son cousin Matt ainsi que Steve, un mec super-populaire qui veut devenir le président de sa promo, découvrent un truc (je dis truc parce que clairement, l'origine, la nature et le pourquoi de cette chose ne sont pas mises en lumière dans le film, et ce n'est de toute façon pas ça qui importe!) qui va leur conférer des habilités surhumaines, notamment la télékinésie. No big deal donc, hein ! Ils sont alors plutôt très contents, comme on peut l'imaginer, ils s’entraînent à faire léviter des objets par la seule force de leurs esprits, ils vont faire des blagues aux gens dans les supermarchés, c'est rigolo et tout, ils apprennent même à voler, whouu ! Mais voilà, un jour c'est le drame, Andrew, qui des trois est celui qui maîtrise le mieux ses nouvelles capacités, manque de tuer quelqu'un, et à partir de là, c'est de pire en pire. Il va se mettre à rejeter ses deux (seuls) amis, va même en tuer un sous le coup de la colère. Il se met à persécuter ceux qui s'en prenaient à lui, il essaye de tuer son père, ravage la moitié de la ville, blessant tous les malheureux qui osent se trouver sur son passage... Au final, c'est Matt, sans autre solution pour arrêter le carnage, qui va devoir tuer son cousin/meilleur ami...

À la base, il faut savoir que j'aime énormément les films de super-héros (et j'emmerde gentiment au passage l'élitisme dont font preuve certains face à la pop culture), mais lorsque Chronicle était en salles il y a deux ans, je me suis simplement dit « non ». Je pensais étrangement que des ados avec des pouvoirs, filmés avec une caméra au poing, ce ne serait pas ma tasse de thé (j'avais bien évidemment tord, n'est-ce pas). Je l'ai quand même gardé dans ma wish-list de mes films à voir un jour, pluvieux de préférence, quand je n'aurais vraiment rien d'autre à faire, et c'est seulement cette semaine, alors qu'il pleuvait, que je me suis dit « pourquoi pas ? ». Sans mentir, c'est aussi et surtout le fait que Dane Dehaan, dont je suis juste très légèrement amoureuse, fasse partie du cast qui m'a vraiment motivée. Parce qu'il sait choisir ses rôle et qu'il joue merveilleusement bien ; d'ailleurs, il est fort probable que je fasse un article su Kill Your Darlings un de ces jours, mais passons.
Bilan : j'ai beaucoup aimé. Mais attention, je précise tout de même que ce n'est pas LE film de l'année (2012), ce n'est pas mon film préféré et ce n'est pas le genre de film qui vous donne envie de le regarder encore et encore ; non, c'est simplement que Chronicle a retenu mon attention par la façon dont il a su se démarquer des films habituels qui traitent des super-héros, de l'adolescence ou encore de la vie au lycée.




Déjà, même si on se sert de la recette magique la plus habituelle utilisée pour fabriquer un/des super-héros (drame familial : check, personnage en marge : check, acquisition de pouvoirs grâce à un objet/événement hors du commun : check... bref !), le film et ses personnages prennent un chemin plutôt inattendu. D'abord, les trois amis ne sont pas aussi sérieux et dévoués après la découverte de leurs nouveaux dons que ce à quoi nous sommes habitués dans ce genre de film ; à mon sens, leur réaction ne pourrait pas être plus « réaliste » (même si bon, on reste quand même dans un film où les mecs ont des pouvoirs, faut pas déconner !). Car non, ils ne volent pas tout de suite au secours de la veuve et de l'orphelin, comme toute personne normalement constituée et saine d'esprit (qui se découvrirait la capacité de faire bouger n'importe quoi rien qu'en y pensant), ils ne vont pas se jeter la tête la première face au danger mais vont plutôt d'abord tester de quoi ils sont capable et surtout, s'amuser !
De façon plus générale, Chronicle ne traite pas le thème des super-pouvoir de la façon habituelle, de fait, ce n'est pas la naissance d'un héros à laquelle on assiste, mais plutôt à celle d'un méchant. Eh oui, ce cher Andrew finit par péter un câble à la Carrie White et ne s’embarrasse plus des pauvres mortels qui l'entourent car il est, comme il aime à le répéter, le « prédateur alpha » et que, comme on ne se sent pas coupable lorsqu'on tue une mouche, il ne devrait pas se sentir coupable pour tuer des êtres humains plus faibles que lui... j'ajoute que c'est principalement ce qui m'a fascinée dans ce film, parce qu'Andrew n'est pas quelqu'un de mauvais, et on peut comprendre, après tout ce que tout le monde lui a fait subir, qu'il puisse vouloir se venger et qu'il refuse d'être à nouveau traité comme il l'a été.
Enfin, en ce qui concerne la réalisation et plus précisément les effets spéciaux, là où les autres films de super-héros ont tendance, je l'avoue, à privilégier le sensationnel, le spectaculaire au créatif et à l'inventif, Chronicle va rester dans quelque chose de plus sobre, les effets spéciaux ne sont pas utilisés à outrance et ils restent relativement soignés et bien exploités, ce qui va réellement servir à l'histoire, et pas simplement en mettre plein la vue au spectateur. Même la scène de la fin où ils détruisent partiellement la ville ne m'a pas semblé trop exagérée, j'irais même jusqu'à dire que je l'ai trouvée très juste. Mais bon, on peut tout de même imaginer que si le film avait eu davantage de budget il serait tombé dans les clichés habituels des explosions à foison...

Bon, il est tout de même temps que j'en vienne à l'aspect qui est sans doute le plus important du film, c'est bien sûr la façon de filmer caméra au poing. Alors que beaucoup restent réticents à ce genre de fond foutage movie, parfois à raison, je trouve que dans Chronicle, cela reste très bien utilisé. Ici l'originalité de la réalisation témoigne de la société dans laquelle évoluent les personnages, l'image sert à l'histoire en accompagnant Andrew partout où il va tout en sachant rester neutre ; neutre parce qu'il s'agit d'un documentaire, si la caméra n'était pas un objet volontairement présent dans le film, je pense qu'il y aurait pu y avoir une ambiguïté due au point de vue, on aurait eu du mal à savoir si les images que nous voyions étaient déformées par l'esprit d'un personnage ou pas (par exemple, je pense notamment à Lolita -livre, film, peu importe- où tout est décrit du point de vue de Humbert Humbert, sachant ça, Lolita nous semble tellement plus innocente que ce qu'il nous laisse penser. Je vous laisse méditer là-dessus). Mais plus qu'un simple moyen de relater cette histoire de façon neutre, la caméra est avant tout pour Andrew un bouclier, derrière elle, il pense être protégé de la violence de son père ; en filmant toute la colère et la brutalité dont ce dernier fait preuve à son égard, il espère pouvoir y mettre un terme (ce qui n'est malheureusement pas le cas). Il s'agit également d'une barrière qu'il érige entre lui et les autres, car même s'il désire s'intégrer au plus haut point, sa timidité l'emporte et l'empêche de se dévoiler complètement aux jeunes de son âge, qui vont donc le considérer comme un freak.
Ainsi contrairement à ce que l'on peut voir dans certains teenage movie à l'humour vaseux, le lycée aux US ce n'est pas un endroit magique où tout est possible. Là c'est la bêtise, la violence et la cruauté des adolescents qui retiennent notre attention, le fait que la popularité ait une place si importante et que la loi du plus fort règne sans pitié. C'est ainsi un mal très commun en Amérique qui est directement pointé du doigt dans Chronicle, le « bullying », qui reste la cause de nombreux suicides d'adolescents persécutés sous prétexte qu'ils n'étaient pas « dans la norme ».
Mais de manière un peu plus légère, cette façon de filmer va également pouvoir nous montrer une facette de notre relation à la technologie. En évoluant assez rapidement, on va passer de la vieille caméra d'Andrew, à celle plus moderne (donc plus chère) offerte par son cousin, à des caméras de vidéo surveillance et enfin aux smartphones et tablettes des passants qui les entourent ; les images filmées en continu par ce genre de technologie ne sont pas du tout choquantes, et permettent de réaliser à quel point aujourd'hui les caméras sont réellement partout...




Pour finir sur un commentaire un peu plus personnel, je voulais simplement ajouter que j'ai porté un réel intérêt ainsi qu'une drôle de fascination au personnage d'Andrew, déjà par la façon dont il a progressivement évolué, mais aussi parce que je crois bien que ce cher petit à des tendances sociopathes (ce qui je pense à pour effet de captiver le public, regardez par exemple Sherlock), peut-être que c'est le style documentaire qui me fait dire ça, car c'est en réalité simplement ce qu'il cherche à faire : enregistrer des faits et rien d'autre que des faits. Mais il donne bien souvent l'impression de ne porter que peu d’intérêt à la vie humaine, déjà avec son speech de superprédateur dont j'ai parlé plus tôt, mais aussi avec d'autres moments, comme par exemple celui où on le retrouve dans les toilettes, là il fait le bilan de l'arrachage de dents de types qui le brutalisaient. Pour lui cela n'est, en plus de la vengeance, purement qu'une étude dans laquelle il explique comment arracher une dent (par la pensée) en la gardant intacte. Ce qui le rend d'autant plus intéressant c'est bien sûr le fait que l'on sache que son comportement est directement lié au climat social qui règne autour de lui et c'est malheureusement dans sa quête pour atteindre le haut de l'échelle sociale qu'il semble perdre son humanité...


J'espère que cet article vous a plu, n'hésitez pas à me faire part de votre avis sur le film, je serais ravie de le lire et/ou d'y répondre !

- Pikamido


lundi 23 juin 2014

V pour Vendetta (Film)

Posted by CoupDeFeels on 14:15 with No comments

Ah, ce film. Je l’aime tellement que je ne sais pas trop par où commencer. Alors déjà il faut savoir que je l’ai vu pour la première fois il y a quelque chose comme un mois, environ huit ans après la sortie du film en salles. Ouais. Pourquoi ? Ca j’en sais trop rien, je dirais juste que je ne m’y suis simplement pas intéressé avant il y a peu de temps, et que ce film n’était qu’un parmi tant d’autres dans ma liste de must see. Et puis, il y a quelques semaines, je me suis dit " ça y est, c'est enfin le moment de le regarder ".

J’avais de grosses attentes concernant ce film – beaucoup de mes amis m’avaient dit à quel point il était super, bien fait, tout ça. Du coup j’ai commencé le film avec un œil assez critique, attendant au coin de la rue chaque truc qui pourrait me gêner. Mais il ne m’a pas fallu plus de dix minutes de film pour laisser tomber cette idée complètement et me laisser submerger par l’histoire.

Fanart par Mauricio Vassami

L’histoire en quelque mots (vous allez voir que je ne suis pas super douée pour les résumés) – Evey est une Londonienne discrète guidée par la peur de son passé, et alors qu’elle se fait un soir attaquer par la police du gouvernement, corrompue jusqu’à la moelle, elle est sauvée par un homme masqué qui se présente comme étant V. Elle s’aperçoit rapidement qu’il est en fait un terroriste qui agit cependant pour le bien du pays, luttant contre le gouvernement répressif du Chancelier Sutler. Au cas où vous n’auriez pas le film, je essayer de ne pas donner de spoilers, et terminer en disant que nous allons voir l’évolution de la relation entre Evey et V. Comment elle arrivera à surmonter ses peurs, et comment V mènera le peuple anglais à la révolution.

Si vous avez continué à lire jusque-là, je vous remercie, déjà, et je tiens aussi à préciser que la suite de l’article ne sera pas forcément sans spoilers. Donc afin de mieux pouvoir comprendre l’article et l’apprécier, je vous conseille de regarder le film avant de continuer. C’est un très très bon film, vous ne le regretterez pas.

Fanart par RanNiwa

Donc, pour ce que j’en ai pensé. Tout d’abord, je tiens à dire que je suis contente d’avoir attendu pour le regarder : à l’époque où il est sorti, je n’aurais probablement pas capté les trois-quarts des références faites dans ce film.

On peut d’ores et déjà parler de l’analogie la plus évidente du film, celle entre le gouvernement de Sutler et le gouvernement nazi (référence aussi à Orwell au travers du personnage de Sutler). On nous met sur la voie dès le début avec l’émission que regardent Evey et V. L’hôte de l’émission nous fait un discours sur le fait que l’Angleterre devrait faire payer les États-Unis pour ce qu’il s’est passé lors de la Boston Tea Party en 1773. Le religieux poursuit en disant que rien n’arrive par hasard, que les guerres du passé sont la volonté de dieu, et que les homosexuels, musulmans et autres ont été tués pendant la guerre car c’était là la volonté de Dieu, et donc la bonne chose à faire. On est donc déjà plongés dans un contexte ressemblant énormément à celui de l’époque nazie. Et cela ne fera que se confirmer pendant le film lorsqu’on verra les armées corrompues, violentes, la propagande, le parti unique, et la discrimination des homosexuels (en particulier avec l’histoire de Valérie et de la ‘Grande Purge’). On retrouve également les thématiques de la censure et propagande dans la Galerie des Ombres (le repaire de V). En effet, entreposé chez lui, un tas d’œuvres d’art interdites par le gouvernement (on a la même chose chez Deitrich qui est soit dit en passant un homosexuel se faisant passer pour un hétérosexuel en invitant Evey chez lui au début du film).

Ceci est un screen, pas besoin d'être un artiste.

Après, on a aussi le parallèle avecGuy Fawkes et le personnage de V. Pour le petit moment historique, Guy Fawkes prévoyait de faire sauter le parlement Anglais le 5 novembre 1605 afin de créer une révolte populaire. Cependant, il fut arrêté à minuit, le 4 novembre, et pendu en janvier 1606, son plan tombant à l'eau. V à la fin du film achève donc (grâce à l’aide d’Evey) ce que Fawkes avait entreprit. Il est important de rappeler que le film se passe dans un univers rétro-futuriste (c’est-à-dire qui est dans le futur, même si on a l’impression que l’humanité est revenue dans le passé – j’explique très mal, donc cherchez la définition, ça sera sûrement mieux) car cela met le doigt sur une notion importante du film : l'humanité n'apprend pas de ses erreurs passées. Pour continuer sur le personnage de V, il y a également la comparaison avec le personnage principal du Comte de Monte-Cristo, d’Alexandre Dumas. Dans le film, on nous montre même des extraits de l’adaptation cinématographique par Rowland V. Lee. Les deux héros sont guidés par la vengeance, et ont été enfermés injustement, traumatisés par leur expérience. J’appuierais enfin sur la façon de parler de V, très littéraire, pleine de figures de style (sa présentation à Evey au début du film avec sa grande allitération en V est remarquable), qui ajoute tellement de beauté aux dialogues.

Si quelqu'un sait de qui est cette image, faites moi signe.

Je pourrais encore faire une longue liste de références, mais je me suis contentée de celles qui m’ont paru les plus évidentes, les plus importantes. Si vous voulez plus d’infos, je suis certaine qu’en cherchant un peu sur internet, vous trouverez votre bonheur. Je conclurais cet article en disant que ce film s’est propulsé dans mon top 3 le soir même où je l’ai vu. Les références culturelles, littéraires et historiques sont partout, si on prend le temps d’y faire attention. L’histoire, les personnages, l’esthétique, rien n’est à jeter. Une bonne centaine de répliques qui relèvent du génie, et personnellement, je me suis retrouvée un peu comme Evey à la fin, à tomber un peu amoureuse de cet homme masqué. Je pensais que je serais frustrée de ne pas voir le visage de V à la fin, mais la beauté du film réside justement dans le fait qu’on ne le voit pas. Même si V était un homme, il était surtout une idée, et les idées n’ont pas de visage.

On remercie donc James McTeigue pour la réalisation du film, ainsi qu’Andy et Lana Wachowski pour le scénario. On s'incline aussi devant le talent monstrueux des acteurs tels que Hugo Weaving (V), Natalie Portman (Evey), John Hurt (Chancelier Sutler), Stephen Fry & Rea, et n'oublions pas la ravissante Natasha Wightman.

Je n’ai pas encore lu le comic, mais vous pouvez être certains que je le ferais très bientôt (dès que je peux me le procurer, en fait) et que je ferais un petit travail dessus. En attendant, j’espère que cet article vous a plu. C’est mon premier, donc soyez indulgents : dites-moi ce qui était positif, et ce qui l’était moins, pour que je puisse faire de meilleurs articles par la suite.



Pour mon prochain article, je pense me pencher sur un groupe de musique : The Darling Buds. Pas le vieux groupe, celui composé de Jamie Campbell Bower, Tristan Marmont et Dan Smith (non, pas celui de Bastille). Bref, restez dans le coin pour ça !

- Unicat

Helloooooo, meet Unicat & Pikamido

Posted by CoupDeFeels on 06:34 with No comments

Salutations, étranger !


Je suis une des deux créatrices du blog, et je m'appelle Betty. Mais je publie sous le nom de Unicat parce que, avouons-le nous, un chat licorne ça a quand même vachement plus de gueule. Petite présentation en mode speed dating - j'ai 21 ans, je sors d'une licence d'Anglais et je vais commencer un master FLE (Français Langue étrangère) parce que je veux être prof de Français en Angleterre. J'aime beaucoup de trucs dans la vie : la lecture, la musique, les films, les séries télé, les jeux vidéos, les Youtubers, un petit peu d'art, et beaucoup de tumblr et d'internet.

Je ne vais pas vous faire une liste des trucs que j'aime, parce que vous les découvrirez petit à petit dans le blog en lisant les articles. Sachez simplement que j'ai des goûts très variés, et que ce n'est pas parce que je vais aimer un navet à un moment que je n'aimerais pas non plus un bon film. C'est pareil pour la musique, les bouquins et tout le reste. Je touche à tout, et j'assume totalement.

En bref, j'ai toujours été mauvaise pour me présenter, ça n'a pas changé. Si vous avez des questions, n'hésitez pas à les poser, et sinon, j'espère que mes articles vous plairont !

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Image dessinée par exalok, numérisée par moi-même
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Psst, coucou !


Je suis Justine, mais sur l'Internet mondial, je navigue sous le doux nom de Pikamido ; j'ai 20 ans, ex-étudiante en Lettres Modernes, je me dirige à présent vers un Master FLE.
J'ai l'air d'une jeune adulte mature, mais rassurez-vous, il n'en est rien, mon âme d'enfant est restée intacte avec le temps et je crois encore aux Pokémons ou à la magie !
J'écoute beaucoup de musique, je dessine, j'adore les livres, of course, mais pas seulement Sand et Shakespeare, je lis pleins de trucs divers et variés qui piquent ma curiosité et me font rêver. Séries addict jusqu'au bout des ongles de pieds, je passe également les trois quarts de ma vie éveillée devant des dizaines et des dizaines de séries, dont je vais m'empêcher de vous faire la liste tant elle est longue !

Bon et sinon, je l'avoue, je suis une vraie fangirl (ne m'enfermez pas, je suis née comme ça !), mais je ne vais pas m'égarer sur tous les sujets qui me passionnent et m’obsèdent, je risque de rapidement passer pour une dingue !
Bref, j'aime la vie et l'humanité, je rêve trop et je suis heureuse comme ça !

Si vous avez des questions, pertinentes ou pas pertinentes, je me ferais un plaisir d'y répondre !

Et enfin, si vous voulez, vous pouvez aller me suivre, mais pas de trop près, sur le Twitter ou sur le Tumblr.

Bisous un peu partout !
- Pikamido